Quel roi anglais était fou
George III
George III, roi d’Angleterre de 1760 à 1820, est celui qui est le plus souvent associé à la folie parmi les rois anglais. Il a souffert de plusieurs épisodes de maladie mentale au cours de sa vie, ce qui a conduit à des périodes d’incapacité où son fils, le prince de Galles, a assumé le rôle de régent. La maladie mentale de George III a été attribuée à une maladie appelée porphyrie, bien que ce diagnostic soit contesté par certains historiens.
Symptômes et signes de la folie de George III
Les symptômes de la folie de George III comprenaient des épisodes de confusion, d’agitation, d’insomnie et de hallucinations. Il a également souffert de crises où il ne reconnaissait pas sa famille et ses proches. Ces symptômes ont conduit à des périodes de dépression et de retrait social du roi.
Traitement et prise en charge de George III
Lorsque George III était en proie à sa maladie mentale, il était traité par des médecins de l’époque avec des méthodes souvent brutales et inefficaces, telles que l’utilisation de saignées et de camisoles de force. En fin de compte, il a été retiré de ses fonctions officielles et son fils a assumé le rôle de régent.
Répercussions de la folie de George III
La folie de George III a eu des répercussions importantes sur la monarchie britannique et sur la perception du roi par le public. Elle a également entraîné des tensions au sein de la famille royale et a remis en question la capacité des monarques à exercer leurs fonctions en cas de maladie mentale.
Conclusion
En conclusion, George III est le roi anglais le plus souvent associé à la folie en raison de ses épisodes de maladie mentale. Ses symptômes et son traitement ont été largement documentés et ont eu des répercussions durables sur la monarchie britannique. La folie de George III soulève également des questions plus larges sur la gestion de la maladie mentale par les monarques et sur l’impact de celle-ci sur leur capacité à gouverner.